mercredi 25 février 2009

Message de soutien (3)

Bonjour,

J'écris pour dire que Saint Joseph est l'établissement ou j'ai effectué la majeure partie de ma scolarité, de la èmeà la Terminale.
Ce que je peux dire de mon temps passé à Saint Joseph est trop conséquent pour être résumé en quelques lignes, mais je vais quand même essayer.
A chacune des étapes que j'ai franchies, dans chaque classe ou j'ai été, le professionnalisme et le dévouement des professeurs à l'enseignement qui leur incombait m'a toujours impressionné. C'est grâce à l'enseignement de qualité dispensé à Saint Joseph que je suis devenu la personne que je suis aujourd'hui, quelqu'un avec un esprit critique et un gout du travail bien fait qui me servent chaque jour dans les études que je poursuis maintenant, en première année de Master d'Anglais.
C'est grâce aux compétences, à la patience et à l'application de professeurs comme Mr. Getmann, Mr. Bottin, Mr. Morel, Mr Patard, (Pardon pour les fautes d'orthographe le cas échéant) que j'ai pu mener à bien ma scolarité en étant à chaque instant soutenu, informé et responsabilisé. Je ne pense pas qu'il eut été possible que je soit parvenu là ou je suis aujourd'hui sans le talent des enseignants et les moyens pédagogiques mis à la disposition des élèves afin qu'il réussissent aussi efficacement que possible, deux élèments qui font que Saint Joseph est un établissement que je suis fier d'avoir fréquenté.
Je sais que j'oublie de nombreux professeurs car si il y a bien une chose qui ne manque pas à Saint Joseph, ce sont les enseignants qui prennent la tâche qui leur incombe au sérieux, toutes matières confondues. Même en mathématiques, matière ou j'ai été toujours fondamentallement médiocre, je n'ai jamais eu aucun professeur qui ait une seule fois montré signe de découragement face à mes résultats monstrueux.
L'année dernière, j'ai effectué un stage lors de ma troisième année de Licence d'Anglais auprés de Monsieur Morel, un professeur dont l'exemplarité et les compétences tant au niveau pédagogique, relationnel ou encore méthodologique constituent un modèle que j'espère pouvoir un jour égaler, ou du moins m'en inspirer tant l'aisance de cet enseignant était remarquable à chaque coursauxquel j'ai assisté, en tant qu'élève ou plus récemment, en tant qu'observateur.
Saint Joseph est un Etablissement qui a toujours permis à chaque élève d'avoir de réelles chances de réussite, en travaillant et en bénéficiant de l'expérience et des compétences de professeurs qui n'ont jamais rechigné à aider un élève, à donner de leur temps, pour garantir à tous un enseignement de qualité qui n'a pas de prix et ne saurais donc en aucun cas être mis en danger pour de vulgaires raisons économiques.
Saint Joseph doit être sauvé non seulement car il le mérite, mais aussi parce qu'en tant qu'établissement scolaire doté d'enseignants dont la qualité n'est depuis longtemps plus à prouver, il offre à tous ceux qui choississent d'y scolariser leurs enfants de vrais pesrpectives.

Alban Sarribouette, ancien élève.

Message de soutien (2)

bonjour

j'ai lu avec tristesse dans la presse regionnale la prochaine disparition de l'école saint joseph celle qui s'est exilée à Laxou je suis un ancien élève de l'époque 1939/1940 alors que l'école était installée square Godeffroy de Bouillon j'étais en en 8ème et en 7ème avec les frères Benoit -Bonaventure-Joseph les seuls noms dont je me souviens je n'y suis resté que 3 années car les frères n'avaient pas une pédagogie probante.... parmi les éléves et nous étions 8 éléves en 1939/1940 il y avait les deux fils Bourriez michel et philippe qui sont devenus les propriétaires des hypers marchés Cora - Martches- de la banquye evillon - des rhums Saint james etc peutêtre compte tenu de leur dimensions financières et en faisant appel à leurs souvenirs d'enfances sur leur présence dans cette école pourraient ils consentir un geste en faveur de saint Jo...? ce que je ne sais comment vous pourriez les contacter sinon que par la chambre de commerce - le who and who ou le directeur de Cora Houdemont je vous souhaite bonne chance dans vos démarches qui j'espère seront positives et croyez bien que je suis de tout coeur avec vous je reste à votre disposition si vous desirez d'autres renseignements d'autant que je suis natif de Laxou- jet d'eau

andre helmbacher

Message de soutien (1)

Bonjour,

Suite aux nombreux articles parus dans l'Est Républicain, et plus particulièrement celui du vendredi 30 janvier 2009, je vous réitère tout mon soutien.

Cet établissement scolaire m'a accompagnée tout le long de mon adolescence (scolarisée de 1985 à 1992, bac B "sciences éco et sociales) et représente pour moi beaucoup de choses.

Je suis persuadée, et le suis de plus en plus avec les années qui passent, que j'ai acquis dans ce collège et lycée beaucoup de méthodes de travail, un grand sens de la conscience professionnelle et un archarnement à réussir tout en conservant les valeurs humaines.

De plus, étant depuis des années installée dans la vie professionnelle, je n'ai pu que constater, quà ST JO, j'ai bénéficié de très bonnes bases scolaires.

J'ai été tellement satisfaite de mes années à ST JO que je pensais inscrire mes enfants, pour l'instant en classe de CE2 et Grande maternelle. Mais une scolarité réussie ça se programme !

Je suis tout à fait consciente que ce message n'est qu'un grain de sable au milieu du désert, mais sachez que je reste à votre disposition pour témoigner en public, ou autre.

Je vous joins mes coordonnées téléphoniques. N'hésitez pas à me solliciter.

Avec toutes mes meilleures pensées,

Cordialement.

Isabelle CHEVALEYRE née AZENNAZ

Courrier d'un parent à l'évêque

Monseigneur,



Après analyse des éléments à ma disposition, j’observe que vous n’êtes pas opposé à sauver
cet Etablissement de renommée indiscutable présent sur le site de Nancy depuis 138 ans(article de Corinne Baret-Idatte).
Cet Etablissement privé a accepté en B.T.S. des élèves en première année pour la dernière rentrée scolaire.
Donc a le devoir moral de terminer le cycle de ces jeunes étudiants.

Monseigneur ;
j’ai observé votre volonté de défendre les femmes enceintes et sans papiers.

Il me semble que vous avez le pouvoir de sauver des jeunes qui ont eu confiance
1)A cet Etablissent Privé.
2)A vos enseignants dévoués.
3)A ce Chef d’Etablissement dynamique .

Monseigneur ;

Jésus a-t-il dit « mentez ; détruisez vous les uns les autres ; soyez rentable ; et laisser faire
en gardant la tête dans le sable » !! est-ce cela la philosophie actuelle du Christ ??????

Je pense à ces jeunes ;à ces parents ; à ces enseignants ;à son Directeur à qui on a menti.

Agissez Monseigneur,ceci relève de votre volonté de sauver ces personnes qui ont eu la foi
en votre enseignement.
Des solutions existent ; il n’est jamais trop tard . Il suffit de le vouloir.



Monseigneur,je vous prie de bien vouloir accepter mon profond respect et
soyez assuré de la confiance que des centaines de personnes mettent en vous.



Signé : S.Duverne, un Simple Parent.




Copie A :
- Monsieur le Directeur de Saint Joseph et a son équipe .
- l’Est Républicain.
- FR3 .
- élèves.

mardi 3 février 2009

Revendication de la DUP

LES ETUDIANTS, LES FAMILLES, LES ENSEIGNANTS ET LE PERSONNEL OGEC

DE L’INSTITUTION SAINT-JOSEPH EXIGENT DE MADAME MEYER,

DIRECTRICE DE L’ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE

DE MEURTHE-ET-MOSELLE :
I)
a. D’apporter la preuve que les demandes ont été formulées afin d’obtenir une augmentation des dotations horaires globales des établissements privés du secondaire de l’agglomération nancéienne afin de répondre au flux d’élèves en provenance de l’Institution saint-Joseph.
b. D’apporter la preuve que les dotations horaires demandées ont bien été accordées aux établissements les plus proches de l’Institution Saint-Joseph (collège du Sacré-Cœur, ensemble scolaire Saint-Léon).
II)
a. De faire la preuve que la demande de transfert des BTS de Saint-Joseph vers Charles de Foucauld et Bosserville a bien été anticipée afin d’accueillir les étudiants et leurs enseignants de spécialité
b. De faire la preuve que ces transferts ont été acceptés par le rectorat.
III)
a. De faire la preuve que les chefs d’établissement ont fait libérer les 33 postes occupés par des fonctionnaires détachés du public comme le leur avait demandé l’Administration
b. Sinon de transmettre une lettre aux chefs d’établissement pour exiger d’eux que cette démarche soit accomplie sans délai.
IV)
a. De se mettre en rapport avec l’UROGEC afin d’activer la bourse de l’emploi
b. D’assurer le personnel OGEC que ses CV seront transmis aux établissements privés de l’académie avec priorité obligatoire à l’embauche jusqu’à extinction des reclassements.
V)
La mise en place par la DDEC d’une cellule de crise qui se réunira chaque semaine pour :
  • Assurer un suivi des élèves (en particulier de ceux qui ont dépassé l’âge de scolarisation obligatoire) qui n’ont pas retrouvé de place pour l’année scolaire 2009/10
  • Assurer le suivi des mutations des maîtres
  • assurer le suivi des reclassements des personnels OGEC
VI)
La remise du dossier d’audit de M Lhomme (FNOGEC)
Vu : les parents, les élèves, les étudiants, les enseignants, les personnels OGEC.

Historique + Objet de manif du 2/02/2009

LES ELEVES, LES FAMILLES, LES PERSONNELS ET LES ENSEIGNANTS
DE L’INSTITUTION SAINT-JOSEPH DE NOUVEAU TRAHIS PAR L’ENSEIGNEMENT PRIVE CATHOLIQUE

--------------------------------------- Historique des faits --------------------------------

Le 6 novembre 2008, les Frères des Ecoles Chrétiennes, qui exercent la tutelle de l’Institution Saint-Jospeh depuis 138 ans, décident d’abandonner le site de Saint-Joseph Laxou au motif de difficultés financières faisant suite à la baisse des effectifs.
Après la présentation des projets innovants qui se mettent en place à l’Institution, les Frères acceptent de reconsidérer leur décision, qu’ils confirment pourtant un mois et demi plus tard.
Une lettre datée du 26 juin 2008 adressée à M Jean-Luc Maire, président du CAEC de Lorraine, signée de M Roulleaux Dugage, secrétaire général de l’Association La Salle, et dont nous nous sommes procuré la copie, stipulait pourtant déjà : « […] le Conseil d’Administration de l’Association La Salle a demandé :
* de ne pas renouveler la mission de M Lacote [directeur de l’Institution Saint-Joseph] à la prochaine rentrée [septembre 2009];
* de fermer les unités pédagogiques présentes sur le site de Saint-Joseph Laxou à la fin de l’année scolaire 2008-2009 ».
Dans ces conditions : pourquoi avoir recruté des élèves en début de cycle ? pourquoi avoir fait croire jusqu’au mois de décembre qu’une solution pouvait être trouvée ? pourquoi ne pas avoir anticipé cette fermeture afin d’organiser au mieux le transfert des élèves, des maîtres et des personnels ?

L’impréparation de cette fermeture, son caractère brutal, sa confirmation tardive (le 15 décembre) provoquent la colère des familles, des élèves et des personnels, qui se mettent en grève. Au mépris de leurs responsabilités, les Frères des Ecoles Chrétiennes se tournent alors vers la Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique (DDEC), qui en l’absence de toute stratégie politique pour faire face aux difficultés rencontrées par l’enseignement privé en général, ne songe qu’à voir disparaître le plus faible pour tenter de faire grossir les effectifs des plus gros établissements. Face à la mobilisation de tous, la DDEC doit temporairement renoncer à son projet de démantèlement et accepter le principe de commander à la FNOGEC une étude de faisabilité d’un rapprochement avec le LP Saint-Michel de Bosserville.

La restitution de cette étude a lieu à huis-clos, en CODIEC, en l’absence des deux parties concernées (organismes de gestion, délégations uniques du personnel et associations de parents d’élèves de Laxou et Bosserville) comme ces dernières l’avaient pourtant demandé. Nous ne connaîtrons sans doute jamais la façon dont cette étude a été menée puisqu’il est impossible de s’en procurer un exemplaire si jamais elle a d’ailleurs été publiée ! En invoquant la question financière, la DDEC a pu obtenir un vote négatif sur le projet de rapprochement des deux établissements et mettre en œuvre son plan de démembrement, dont nous avons été informé par un simple communiqué du 21 janvier dernier. Il est évident que l’enseignement diocésain n’a pas à pallier l’irresponsabilité des Frères des Ecoles Chrétiennes. C’est pourtant à eux qu’incombait le devoir de réaliser enfin les investissements indispensables à la poursuite de l’activité à Laxou, investissements qui tardent depuis une génération environ (chauffage, isolation…) ! Or si les Frères reconnaissent bien des « erreurs de casting » (sic) dans le choix de chefs d’établissement incapables sur le plan administratif, économique et pédagogique, ils renoncent toutefois à investir les 400 000 euros qui permettraient de maintenir l’établissement, préférant s’assurer une réserve foncière de 5 hectares et immobilière de 7 bâtiments à l’entrée du Grand Nancy.

Poursuivant son objectif, la DDEC renonce enfin à étudier un troisième plan de sauvetage, soutenu par des industriels, la députée de la circonscription, le maire de la ville, les élus, les personnels et les familles. Ce plan, dont une étude a pourtant montré la viabilité, aurait pu permettre de sauver l’Institution centenaire. Mais sauver « Saint-Jo » n’était pas le mot d’ordre de l’Enseignement Catholique de Meurthe-et-Moselle ! Les généraux, au mépris du code de l’honneur et sans courage, préfèrent sacrifier la troupe !


APRES CE DOUBLE ABANDON, LES ENSEIGNANTS, LES PERSONNELS ET LES FAMILLES DOIVENT DE NOUVEAU SE REMETTRE A L’ACTION CAR :

- la DDEC, en la personne de Madame Meyer, sa directrice, a assuré les familles que les 600 élèves de Saint-Joseph pourraient tous retrouver une place dans les établissements privés de l’agglomération. Or à ce jour plusieurs familles font état de demandes rejetées par l’absence de place. De source syndicale, le collège du Sacré-Cœur, géographiquement le plus proche de l’Institution Saint-Joseph, devra se contenter à la rentrée de la même dotation horaire que l’année en cours. Comment dans ces conditions ouvrir de nouvelles classes et répondre aux demandes des familles ?

- le démantèlement de l’Institution Saint-Joseph prévoit le transfert des filières BTS vers les lycées Charles de Foucauld et Saint-Michel de Bosserville. Or de source syndicale, le Rectorat pourrait ne pas accompagner ce projet ce qui aurait pour conséquence de priver les étudiants de 1e année de poursuivre leur cycle et d’empêcher les enseignants de spécialité de retrouver un poste à la rentrée prochaine.

Cette situation révèle l’impréparation totale dans laquelle s’opère la fermeture de Laxou !

- en prévision d’une éventuelle fermeture et pour anticiper les difficultés de reclassement, le Rectorat, seul employeur des maîtres, avait demandé que les chefs d’établissement de l’enseignement privé mettent au mouvement les 33 postes actuellement occupés dans des établissements privés par des fonctionnaires détachés de l’enseignement public. De source syndicale, cette consigne de l’employeur n’a pas été suivie. Elle aura pour conséquence de priver d’emploi plusieurs enseignants, sachant que les maîtres du privé sont des agents publics contractuels ou de les contraindre à changer d’académie alors que bon nombre d’entre eux ne sont qu’à quelques années seulement de la retraite. La Délégation Unique du Personnel, dès qu’elle aura réuni toutes les information utiles, se réserve le droit de recourir contre cette impéritie à moins qu’il ne s’agisse d’une volonté délibérée ?

LES FAMILLES, LES ELEVES, LES ETUDIANTS, LES ENSEIGNANTS ET LES PERSONNELS SE SENTENT UNE NOUVELLE FOIS TRAHIS PAR L’ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE.

ILS RECLAMENT DES ENGAGEMENTS FORMELS DE MADAME MEYER ET MANIFESTENT CE JOUR LUNDI 2 FEVRIER DEVANT LA DDEC, 32 AVENUE FOCH A NANCY